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Cher(e) ami(e) de la Santé,
Ça y est.
Les injections de Gardasil dans les collèges ont repris leur cours – comme si de rien n’était.
Alors qu’Elouan, un jeune garçon de 12 ans, est mort le 27 octobre dernier.
Mais pour nos « autorités de santé », le vaccin est totalement innocent.
Voici la version officielle (et je vous explique après pourquoi je n’y crois pas).
15 minutes après avoir reçu le vaccin Gardasil, le jeune Elouan a fait un malaise.
Ce malaise serait lié à la « peur de l’aiguille » (sachant qu’un malaise vagal peut se produire après une vaccination comme après une banale prise de sang).
En conséquence, le malaise d’Elouan n’aurait « pas de lien avec le produit injecté », comme l’a affirmé le ministre de la Santé.
Par malchance, ce malaise l’a conduit à se cogner violemment la tête, en tombant de sa chaise.
Cette chute a causé un traumatisme crânien.
Le garçon serait décédé des suites de ce traumatisme une semaine plus tard.
Fin de l’histoire.
Mais c’est bien cela : une « histoire », très douteuse sur certains points.
Et même si elle était vraie, elle démontre à quel point la vaccination est inadaptée à l’école.
[size=30]Sans ce programme de vaccination à l’école, Elouan ne serait pas mort[/size]
Il est connu que les malaises peuvent se produire après l’injection – alors pourquoi a-t-on laissé cet enfant s’asseoir sur une chaise ?
C’est d’autant plus étonnant que les protocoles de vaccination en milieu scolaire mentionnent des « bonnes pratiques » qui n’ont pas été respectées ici.
Par exemple, un protocole suisse précise que «
le local de vaccination doit comprendre un endroit où coucher les enfants en cas de malaise ou d’anxiété extrême »
[1].
Le problème est que la vaccination « à la chaîne » s’accommode mal de ce genre de bonnes pratiques.
Quand une infirmière vaccine des collégiens, les uns après les autres, elle ne peut pas tous les allonger dans les 15 minutes qui suivent l’injection.
C’est pourquoi le niveau de sécurité à l’école n’est pas le même que dans le cabinet du médecin.
Chez le médecin, déjà, les jeunes adolescents sont presque toujours accompagnés d’un des deux parents.
Donc, le médecin comme le parent sont plus à même d’être très attentifs aux signaux manifestés par l’enfant après son injection, et prendre les mesures nécessaires.
De plus, en cas d’évanouissement, il est capital de faire la différence entre un malaise vagal et un choc anaphylactique – sachant que les chocs anaphylactiques peuvent
aussi se produire dans les 15 minutes qui suivent l’injection, en cas d’allergie à l’une des composantes du vaccin.
Ce n’est pas pour rien que les équipes qui vaccinent en milieu scolaire sont obligées d’avoir une « trousse d’urgence » contenant des ampoules d’adrénaline
[2] : c’est le traitement de première ligne en cas de réaction allergique grave au vaccin.
Certes, on peut imaginer que les infirmiers qui vaccinent à l’école sont spécifiquement formés pour faire la différence entre une syncope et un choc anaphylactique, mais il paraît plus prudent d’avoir un médecin sur place (ce qui n’est pas toujours le cas à l’école, loin de là).
D’autant que l’Agence européenne du médicament précise que les syncopes post-Gardasil peuvent être «
accompagnées de mouvements tonico-cloniques », c’est-à-dire des formes impressionnantes
d’épilepsie. Ce qui, encore une fois, mérite la présence d’un médecin.
Mais toutes ces précautions ont tendance à passer à la trappe quand on décide de « faire du chiffre » en vaccinant massivement à l’école plutôt que chez le médecin.
Donc, il est incontestable qu’Elouan serait encore en vie si le gouvernement n’avait pas décidé, au printemps dernier, d’introduire la vaccination au Gardasil dans les écoles.
Et quand on sait que les cancers
masculins liés aux papillomavirus ne causent AUCUNE MORT, on voit que ce programme de vaccination massive des garçons a déjà fait plus de dégâts que de bienfaits.
Ainsi, même si la version officielle était exacte, il faudrait quand même arrêter d’urgence ce programme de vaccination à l’école – comme on a stoppé net, il y a 25 ans, la vaccination hépatite B à l’école, pour des raisons similaires.
Mais il y a aussi de sérieux problèmes avec la version officielle.
Le plus « gros », c’est qu’il est ridicule et honteux de faire croire que les malaises post-vaccinaux sont forcément liés à la « peur de l’aiguille ».
[size=30]Anecdote personnelle : le jour où je me suis évanoui après un vaccin[/size]
Je suis bien placé pour en parler, pour avoir fait moi-même un sérieux malaise post-vaccinal quand j’étais plus jeune.
J’avais 17 ans, et je voulais partir au Togo faire une mission humanitaire.
J’ai donc dû me faire vacciner contre la fièvre jaune – obligatoire à l’époque. Et comme je ne me méfiais absolument pas des vaccins, j’ai eu droit, en prime, à deux vaccins dont je n’avais pas besoin (fièvre typhoïde et hépatite A).
Je me suis donc rendu à l’aérogare d’Air France, aux Invalides, où se tenait un centre de vaccination pour les voyageurs.
L’infirmière qui m’a vacciné ma posé la question : « vous avez peur des aiguilles » ?
Non, je n’avais absolument pas peur des aiguilles. Je n’ai jamais eu la moindre phobie de ma vie, j’étais en pleine santé et j’étais totalement confiant dans la médecine et l’innocuité des vaccins.
Donc, sans plus y penser, je reçois donc le vaccin dans l’épaule, comme une simple formalité.
Sauf que… dans les 2 secondes qui suivent l’injection, je me sens « partir ».
Et quand je rouvre les yeux, je suis allongé sur le sol, avec des yeux inquiets qui se portent sur moi.
J’avais fait une syncope.
Problème : les « génies » d’Air France m’avaient assis sur un tabouret… avec du carrelage au sol (on retrouve les problèmes des vaccinations « à la chaîne ») !
Et comme je me suis évanoui d’un coup, je suis tombé et me suis cogné la tête contre le sol.
C’était bénin, heureusement. Je suis resté au repos sur place pendant une heure ou deux, puis je suis rentré, accompagné de mon père venu me chercher.
Je ne sais pas exactement pourquoi j’ai fait cette réaction mais je suis sûr d’une chose : mon malaise n’avait rien à voir avec la « peur de l’aiguille » ou avec une « angoisse », consciente ou inconsciente liée au geste de la vaccination.
Il est évident que ma syncope était liée à l’injection elle-même.
Attention : je ne dis pas que c’était forcément lié au contenu du vaccin.
Je suis prêt à envisager que, chez certaines personnes, le fait d’injecter une substance, quelle qu’elle soit, peut produire une réaction de défense de l’organisme.
Mais ce qui est absolument certain, c’est que ce n’était pas « psychologique ».
Dans le cas du pauvre Elouan, c’est encore plus évident. Car il a déclaré, après l’injection, qu’il ne se sentait pas bien.
Et c’est seulement 15 minutes après la vaccination qu’il est tombé comme une masse – ce qui ne ressemble pas, mais alors
pas du tout, à un malaise lié à une « angoisse ».
Et pourtant, l’Agence régionale de Santé a immédiatement déclaré que le vaccin n’y était pour rien, et que son malaise était « psychologique ».
Comment expliquer une telle contre-vérité ?
La réponse est que les syncopes post-vaccinales sont très « gênantes » : elles n’arrangent ni les fabricants de vaccin, ni les zélotes de la religion vaccinale.
Alors, avec la complicité de l’Organisation mondiale de la Santé, ils ont construit une fable pour justifier ces malaises.
[size=30]C’est l’OMS qui est responsable du mensonge de l’Agence régionale de Santé[/size]
Cette fable, c’est que toutes les syncopes post-vaccinales seraient « psychologiques », liées à la peur de l’aiguille.
C’est d’ailleurs un grand classique de la part du corps médical d’imputer au « stress » les dommages vaccinaux.
Souvenez-vous : le « stress » était la première explication proposée par une experte de l’Agence européenne du médicament, face au déluge de saignements vaginaux anormaux subis par les femmes vaccinées contre le Covid :
«
On peut supposer que les modifications du cycle suite au vaccin peuvent résulter de phénomènes de stress, d’angoisses suscitées par le Covid-19. Cela peut effectivement coïncider avec le vaccin, parce qu’il y a des incertitudes sur ses effets secondaires, à long terme ou immédiats (…). Le vaccin ne serait pas directement responsable, mais le stress qu’il génère pourrait altérer le cycle menstruel. »
[3]C’était absurde, évidemment, mais cela montre bien comment nos autorités ont tendance à innocenter les vaccins à n’importe quel prix.
Et c’est exactement ce qu’a voulu faire l’OMS, sur la totalité des malaises post-vaccinaux.
Il faut voir (pour le croire) le rapport de l’OMS daté de 2019, intitulé «
Les réactions liées au stress après vaccination ».
[4]Ces experts sont allés jusqu’à inventer une sorte de « nouvelle maladie ».
Ils l’ont nommée ISRR, «
immunization stress-related responses » – pour qualifier les réactions post-vaccinales soi-disant liées au stress.
Et voici ce qu’ils écrivent, noir sur blanc, à propos du Gardasil, le vaccin reçu par Elouan, le collégien décédé :
«
La fréquence des syncopes est plus élevée pour les vaccins HPV que pour les autres vaccins.C’est probablement lié au fait que beaucoup de programmes délivrent ce vaccin à l’école, majoritairement chez des filles adolescentes ».
Et voilà ! C’est donc parce que les jeunes filles sont stressées et influençables qu’elles s’évanouissent après le Gardasil ! (ce qui n’est pas sans rappeler l’époque où les médecins qualifiaient certaines femmes « d’hystériques »).
Et ce n’est pas tout.
[size=30]Quand il y a plusieurs malaises en même temps, c’est de l’hystérie collective ![/size]
Savez-vous comment l’OMS qualifie les cas où plusieurs malaises ont lieu dans la même séance de vaccination ?
Cela arrive plus fréquemment qu’on ne le croit – le dernier exemple en date étant dans un collège belge :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Eh bien, pour l’OMS, cela n’a rien à voir avec le vaccin, c’est une forme « d’hystérie collective ! »
C’est écrit en toutes lettres dans le rapport. Avec cette conclusion :
«
Quand les ISRR se produisent en « cluster » (NdA : comme dans ce collège belge)
, ils peuvent conduire à une inquiétude du publique.Si on fait le lien avec la vaccination, cela peut faire du tort au programme de vaccination.Bien que le vaccin ne soit pas la cause sous-jacente, l’évènement peut, à tort, lui être attribué ».
Et voilà le travail.
Toute « inquiétude » face à des syncopes post-vaccinales est nulle et non-avenue, puisque c’est « psychologique » !
Il n’y a donc pas besoin de faire des recherches biomédicales pour mieux comprendre d’où viennent ces syncopes post-vaccinales. Elles sont liées au stress, un point c’est tout !
Donc, la « fable » initiale vient de l’OMS – et c’est pourquoi on la retrouve sous la plume de l’Agence du médicament, au sujet des syncopes liées au Gardasil :
«
Une syncope (évanouissement), parfois associée à des chutes, peut survenir après toute vaccination, voire même avant, en particulier chez les adolescents, comme réaction psychogène à l’injection avec une aiguille ».
Pour mesurer le niveau d’absurdité du raisonnement, il faut lire ce qui est écrit juste après :
«
Ceci peut s’accompagner de plusieurs signes neurologiques comme un trouble transitoire de la vision, des paresthésies et des mouvements tonico-cloniques des membres durant la phase de récupération. »
Wow ! Le stress serait si puissant qu’il pourrait même causer des symptômes neurologiques !
Ce « raisonnement » est d’autant plus grossier qu’il est admis que certaines maladies neurologiques sont causées par certains vaccins.
C’est d’ailleurs particulièrement le cas pour le Gardasil : les essais cliniques avaient révélé que les jeunes filles vaccinées au Gardasil avaient 50 % de risque en plus de souffrir de « troubles graves du système nerveux »
[5].
On dira peut-être qu’il est impossible qu’une injection cause des problèmes neurologiques en seulement quelques minutes.
Et c’est peut-être vrai si le contenu du vaccin restait bien
dans le muscle.
Mais ce n’est pas toujours le cas.
Je vous expliquerai pourquoi dans une prochaine lettre : cet aspect est peu connu mais capital pour comprendre les effets indésirables vaccinaux.
En tout cas, avec le drame qui a touché le jeune collégien, la preuve est faite : nos organisations sanitaires sont prêtes à dire n’importe quoi – « c’est le stress ! » – pour masquer certains effets secondaires des vaccins.
On a même un ministre de la Santé qui a déclaré récemment, mot pour mot, que les vaccins anti-Covid n’avaient «
pas d’effet secondaire »
[6] (!!!).
Voilà pourquoi j’ai le plus grand mal à croire sur parole le communiqué officiel expliquant que la mort du jeune garçon a été causée uniquement par son traumatisme crânien.
Ce serait probablement une première mondiale qu’un garçon de 12 ans meure du fait d’être tombé d’une chaise de 40 centimètres.
Et je rappelle que la mort fait partie des effets indésirables reconnus et inscrits sur la notice américaine du vaccin Gardasil.
À très bientôt pour la suite. Ce scandale ne doit pas rester sans suite.
Bonne santé,
Xavier Bazin
Sources
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