... Ces mots douloureux sont ceux de
François-Xavier Fumu Tamuzo.
Ancien international français des moins de 20 ans et joueur du Stade Lavallois, François-Xavier a été forcé de mettre fin à sa carrière.
En cause,
des douleurs terribles et des blessures à répétition, selon lui, causées par les vaccins COVID.
Il ne se dit ni anti-vaxx, ni complotiste, juste en quête de reconnaissance et de compréhension.
C’est pour cette raison qu’il a décidé de poursuivre les laboratoires Pfizer et BioNTech en justice.
“Même marcher est devenu pénible”
"La longue marche est à peine supportable, les footings me sont impossibles. Au moment où je veux mettre une impulsion, par exemple pour monter mes escaliers ou monter une étagère ou même descendre les escaliers, les douleurs sont vives"[1]
François-Xavier était pourtant promis à un avenir radieux avec les Bleus.
Il avait été sélectionné dans l’équipe nationale des moins de 20 ans.
Mais
le 30 juillet 2021, date de sa première dose, il ne se doutait pas que sa vie allait être bousculée à jamais.
Les ennuis commencent après sa deuxième dose, le 23 août.
Des
gonalgies (douleurs) au genou gauche et une
tendinopathie (douleurs au dos) l'empêchent alors de jouer.
En mars 2022, juste après avoir reçu une troisième dose de vaccin, il souffre d’une
rupture du tendon d'Achille.
Le rêve de François-Xavier se brise. Lui dont le football était la passion souffre l’agonie au moindre footing sur la pelouse.
Le cœur lourd, il annonce le 18 avril dernier sa décision de mettre fin à sa carrière de manière prématurée.
[2]Pour lui, le doute n’est pas permis : son corps a lâché à cause des vaccins.
Une errance médicale
Son avocat, Éric Lanzarone, lui non plus n’a aucun doute :
"
Depuis deux ans, mon client est dans une errance médicale et personne n'a émis un doute sur les effets indésirables du vaccin. Alors qu'on sait qu'ils existent aujourd'hui, personne ne peut le nier. Et au fur et à mesure de ces soucis, François-Xavier est allé consulter des spécialistes de médecine interne qui ont émis éventuellement ce doute. Il faut le lever".
[3]La plainte concerne 4 institutions :
Pfizer-Allemagne et BioNTech en tant que concepteurs du vaccin,
Pfizer-France en tant que fournisseur et
la Fédération Française de Football.
Car comme l’explique l’avocat :
"
Au moment où François-Xavier Fumu Tamuzo a été vacciné, la vaccination n'était pas obligatoire. Elle le deviendra plus tard pour les footballeurs professionnels. Je considère que la FFF a une responsabilité dans cette histoire. Elle a bâti un protocole sanitaire avant même l'instauration d'une loi".
Une audience est prévue le 2 juillet au tribunal de Paris.
Je ne m’y attendais pas, mais les laboratoires ont déjà répondu au jeune footballeur !
Et comme l’on peut s’en douter, ils sont frileux à reconnaître une quelconque responsabilité…
Les laboratoires répondent et nient toute responsabilité
Pfizer a affirmé que la sécurité de ses vaccins est prioritaire et repose sur “des essais cliniques rigoureux et des études approfondies”.
[4]Pfizer a également souligné que les données relatives à la sécurité de ses vaccins ont été évaluées par des organismes de santé indépendants et ont été validées pour une utilisation à grande échelle.
[5]Et surtout, que le rapport bénéfice/risques est selon eux favorable, puisque des millions de personnes ont reçu au moins une dose à travers le monde…
Bref, un discours qui nie toute responsabilité, et qui en profite pour faire de la propagande pour leur produit.
Je crains malheureusement que le cas de François-Xavier soit celui de David contre Goliath, mais où Goliath ne serait pas si aisément vaincu…
Pourtant, comme l’a très bien rappelé son avocat, les effets secondaires des vaccins COVID sont reconnus et dédommagés !
Alors pourquoi les laboratoires continuent-ils de faire la politique de l’autruche ?
1 million de Davids contre Goliath
Rappelez-vous, le 30 juin dernier, lors d'une audience devant la commission des Affaires sociales du Sénat, François Toujas a révélé que
l'organisme national d'indemnisation des accidents médicaux (Oniam) avait accordé des indemnisations à un total de
72 personnes en France pour des cas de myocardite ou de péricardite survenus après une vaccination contre le Covid.
[6]Parmi les problèmes de santé mentionnés dans les demandes d'indemnisation, les
péricardites et myocardites (inflammations du cœur) sont responsables de 211 dossiers. Les
troubles neurologiques suivent de près avec 196 dossiers dont 33 présentent une
paralysie faciale. Ensuite, on retrouve les
AVC thromboses embolies pulmonaires avec 129 dossiers, les
troubles articulaires avec 91 dossiers, les
troubles auditifs avec 67 dossiers et enfin les
troubles dermatologiques avec 31 dossiers.
[7] Là, je ne vous parle que des cas qui sont admis par les autorités. Admis à force d’études internationales implacables.
J’ai sous mes yeux les documents qui répertorient les cas d’effets signalés par la population :
- 39 520 rapports d’effets indésirables ont été notifiés sur le site de l’Agence fédérale des médicaments et des produits de santé de Belgique.[8]
- 42 432 rapports ont été enregistrés dans la base de données européenne de pharmacovigilance EudraVigilance.
- 17 119 de ces rapports sont graves. La grande majorité de ces rapports sont considérés comme graves en raison d'une incapacité de travail temporaire ou de l'impossibilité de quitter la maison à cause de la fièvre, de douleurs musculaires, d'un malaise et de réactions au point d'injection.
- en Suisse, 16 855 déclarations de cas d’effets indésirables présumés de vaccins contre le Covid-19 ont été évaluées.[9]
- L’ANSM (France) fait mention de 192'591 cas rapportés par la population.[10]
À l’échelle internationale ? Impossible de savoir.
Mais par devoir de mémoire et de justice sociale, permettez-moi de lister encore les effets indésirables associés au vaccin COVID.
Les douleurs articulaires figurent bien parmi les effets indésirables
Il y a encore tous les cas “sous surveillance”, c’est-à-dire non reconnus par les autorités. Les témoignages de milliers de personnes que l’on ne prend pas au sérieux.
Leur nombre est difficile à estimer mais il est bien supérieur aux cas “surveillés” c’est-à-dire reconnus.
Voici une liste non exhaustive des cas confirmés mais, surtout, des cas non-confirmés – et pourtant bien réels ! – pour
les vaccins COVID. - Signaux confirmés :​​​​​​
- Troubles vasculaires de type hypertension artérielle[11]
- Réaction retardée (réaction locale douloureuse, érythémateuse, prurigineuse au site d’injection)[12]
- Myocardite / péricardite[13]
- Erythème polymorphe[14]
- Saignements menstruels importants[15]
Signaux potentiels déjà sous surveillance :
Troubles du rythme cardiaque[16]
Zona[17]
Perte de connaissance, plus ou moins associée à des chutes[18]
Polyarthrite rhumatoïde[19]
Néphropathie glomérulaire[20]
Troubles menstruels (hors saignements menstruels importants)[21]
Signaux en cours d'évaluation :
Syndrome de Parsonage Turner[22]
Hépatite auto-immune[23]
Hémophilie acquise[24]
Anémie-hémolytique autoimmune[25]
Surdité[26]
Je ne suis pas médecin, mais les douleurs chroniques de François-Xavier ressemblent à s’y méprendre aux symptômes de la polyarthrite rhumatoïde (qui figure bien dans cette liste) : difficulté à se déplacer, à accomplir les tâches quotidiennes, douleurs dans les tendons…[27]
La colère, le sentiment d’injustice du footballeur François-Xavier serait donc justifiée !
Ses douleurs aux genoux et aux tendons pourraient très bien être un effet indésirable des 3 vaccinations qu’il a dû subir…
Bref, ne soyons pas dupes.
Prenez soin de vous,
Thibaut Masco de Santé Non CensuréeP.S. : Si vous aussi vous avez remarqué des effets indésirables suite au vaccin COVID, ou si un de vos proches en souffre, dites-le moi
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